La nouvelle stratégie pour le secteur agricole « Green Generation 2020-2030 »
La vision de la nouvelle stratégie pour le secteur agricole, « Green Generation 2020-2030 », qui a été lancée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, reposera sur deux piliers.Et la création d'une classe moyenne agricole dans le Royaume.Il est prévu que, grâce à la « génération verte » dans le domaine agricole, un important développement économique et social sera réalisé, qui permettra à 350 000 à 400 000 nouvelles familles d'entrer dans la classe moyenne, d'installer 690 000 familles en leur sein, de créer 350 000 emplois pour les jeunes, et doubler le produit intérieur brut agricole et les exportations agricoles. Révélant à cet égard que la mise en œuvre de cette stratégie nécessite une croissance globale du budget du secteur de l'ordre de 2,5% par an, à partir de l'année 2020.En lien avec la nouvelle vision royale pour le secteur agricole, le ministre de l'Agriculture, de la Pêche, du Développement rural, des Eaux et Forêts, M. Azez Akhannouch, a révélé, dans un discours prononcé par le Roi Mohammed VI, que Dieu le protège, lors de la cérémonie de lancement de la nouvelle stratégie agricole pour le développement du secteur agricole « Génération verte 2020-2030 », La stratégie liée au développement du secteur de l'eau et de la forêt, « Les forêts du Maroc », est que la stratégie « Génération verte » propose huit axes qui aspire sur le plan humain à l'émergence d'une nouvelle génération de la classe moyenne agricole, en permettant à 400 000 nouvelles familles d'accéder à cette classe, et il vise également à Générer une nouvelle génération de jeunes entrepreneurs, en mobilisant et valorisant un million d'hectares de terres collectives et en offrant des opportunités d'emploi à 350 000 jeunes.Il a souligné que la classe moyenne paysanne et les jeunes paysans pourront s'appuyer sur une nouvelle génération d'organisations agricoles innovantes, et aussi suivre le rythme de la réhabilitation des agriculteurs et développer leurs capacités à travers une nouvelle génération de mécanismes d'accompagnement, expliquant que la réalisation des objectifs de l'axe lié à l'appui à l'émergence d'une classe moyenne paysanne nécessite quatre piliers qui concernent l'amélioration des revenus de l'agriculteur et la généralisation de l'assurance agricole et le développement d'un cadre spécial pour l'agriculteur qui permet de bénéficier des services de protection sociale, ainsi que la réduction de la différence entre le salaire minimum dans le secteur agricole et les autres secteurs d'ici 2030.Akhannouch a souligné que, conformément aux normes nationales et internationales de définition de la classe moyenne, la mise en œuvre de ces mesures permettra à 400 000 bonnes familles d'entrer dans la classe moyenne agricole et d'y installer 690 000 familles.Afin de produire une nouvelle génération de jeunes entrepreneurs paysans, explique le ministre, quatre leviers ont été mis en place. Le premier consiste à proposer trois offres de valeur sur un million d'hectares de terres collectives. Il s'adresse d'abord aux jeunes et aux ayants droit , qui bénéficieront d'un système d'incitation et d'aides à la mise en place de projets couvrant un pourcentage des coûts d'investissement et garantissant l'accès à la sécurité sociale, et d'autre part aux investisseurs porteurs de projets à fort potentiel d'emploi, car ils bénéficieront d'un accès à l'immobilier des incitations liées au pool et à l'investissement, notant que cette dynamique sera accompagnée par des mesures horizontales liées au développement agricole et à la formation et la réhabilitation des agriculteurs, notant que ces trois offres contribueront à 200 mille bénéficiaires, dont 45 mille jeunes.Le deuxième levier concerne un nouveau lancement des jeunes agriculteurs entrepreneurs, avec la mise en place d'incitations particulières qui permettent à environ 180 000 jeunes agriculteurs de lancer leurs activités, ajoutant que, compte tenu du fait que 360 000 exploitants agricoles ont plus de 65 ans, et pour assurer la succession de générations dans les deux secteurs, des mécanismes innovants seront mis en place pour assurer la pérennité des exploits.Quant au troisième levier, précise le ministre, il concerne le soutien aux entreprises de services agricoles, tandis que le quatrième et dernier levier concerne une stratégie ambitieuse dans le domaine de la formation visant à former 150 000 diplômés d'ici 2030.Akhannouch a indiqué que la formation professionnelle agricole sera présente dans 10 des 12 villes pour les métiers et compétences que Sa Majesté le Roi a lancé, ajoutant que les grues liées au soutien des activités agricoles dans le monde rural seront également incluses et activées dans le cadre de intégration avec le programme intégré d'accompagnement et de financement de l'entrepreneuriat lancé par le Roi.Afin de créer une nouvelle génération d'organisations agricoles, le ministre a souligné que deux leviers étaient envisagés en promouvant de nouveaux modèles de coopératives agricoles en proposant des offres de valeur qui combinent les dimensions économiques et sociales et renforcent l'indépendance et le rôle des organisations interprofessionnelles dans la structuration des filières de production. dans le but de les autoriser à gérer 30% du budget.Le dernier axe de la première partie comprend la mise en place d'une nouvelle génération de dispositifs d'accompagnement en intensifiant et vulgarisant la concertation agricole, en développant les services agricoles numériques en reliant au moins 2 millions d'agriculteurs aux plateformes de services électroniques, et en enrichissant le dispositif de soutien à l'agriculture solidaire, notamment en accompagnant les jeunes et les femmes pour assurer la pérennité de leurs projets.Concernant le second volet de la nouvelle vision stratégique, qui concerne la poursuite du dynamisme du développement agricole, le ministre a expliqué, dans un premier axe lié à la nécessité d'œuvrer au renforcement des chaînes de production, que l'objectif est de doubler la matière première agricole atteindre 200 à 250 milliards de dirhams à l'horizon 2030, et doubler la valeur des exportations agricoles pour atteindre 50 à 60 milliards de dirhams, et dynamiser les investissements en valorisation et transfert pour couvrir 70 pour cent de la production, notant que le contrat-programme des industries agroalimentaires constitue, à cet égard, une première étape réussie et efficace qui est déterminée à être développée en consolidant ses acquis, ainsi qu'en mettant en place des incitations à l'émergence de nouvelles chaînes à haute qualification telles que les produits Membership.
Le deuxième axe concerne la restructuration et la modernisation des circuits de distribution en partenariat avec le Ministère de l'Intérieur et les collectivités territoriales à travers trois mesures liées à la modernisation de 12 marchés de gros, la modernisation des marchés traditionnels, et la structuration et diversification des circuits de distribution à travers circuits courts ainsi qu'en distribution directe.
Le troisième axe, lié à l'amélioration de la qualité et à l'encouragement de l'innovation, permettra au Maroc de mieux se conformer aux normes internationales, de répondre aux besoins des consommateurs, et de faire du produit (original) marocain (Origine Maroc) un gage de qualité. intensifier les processus de contrôle sanitaire pour protéger le consommateur et améliorer l'accès aux marchés internationaux.Le quatrième et dernier axe vise à développer une agriculture durable à travers trois leviers, le premier concerne la mise en œuvre du volet relatif à l'eau d'irrigation au sein du programme national d'approvisionnement en eau potable et eau d'irrigation 2020-2027, dans lequel le Roi a donné ses hautes instructions, et la seconde s'accompagne de la transition des agriculteurs vers l'utilisation des énergies renouvelables, et la troisième et dernière, où l'agriculture sera réalisée durablement basée principalement sur des techniques améliorées de conservation des sols.
La nouvelle stratégie pour le secteur agricole « Green Generation 2020-2030 »
La vision de la nouvelle stratégie pour le secteur agricole, « Green Generation 2020-2030 », qui a été lancée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, reposera sur deux piliers.Et la création d'une classe moyenne agricole dans le Royaume.
Il est prévu que, grâce à la « génération verte » dans le domaine agricole, un important développement économique et social sera réalisé, qui permettra à 350 000 à 400 000 nouvelles familles d'entrer dans la classe moyenne, d'installer 690 000 familles en leur sein, de créer 350 000 emplois pour les jeunes, et doubler le produit intérieur brut agricole et les exportations agricoles. Révélant à cet égard que la mise en œuvre de cette stratégie nécessite une croissance globale du budget du secteur de l'ordre de 2,5% par an, à partir de l'année 2020.
En lien avec la nouvelle vision royale pour le secteur agricole, le ministre de l'Agriculture, de la Pêche, du Développement rural, des Eaux et Forêts, M. Azez Akhannouch, a révélé, dans un discours prononcé par le Roi Mohammed VI, que Dieu le protège, lors de la cérémonie de lancement de la nouvelle stratégie agricole pour le développement du secteur agricole « Génération verte 2020-2030 », La stratégie liée au développement du secteur de l'eau et de la forêt, « Les forêts du Maroc », est que la stratégie « Génération verte » propose huit axes qui aspire sur le plan humain à l'émergence d'une nouvelle génération de la classe moyenne agricole, en permettant à 400 000 nouvelles familles d'accéder à cette classe, et il vise également à Générer une nouvelle génération de jeunes entrepreneurs, en mobilisant et valorisant un million d'hectares de terres collectives et en offrant des opportunités d'emploi à 350 000 jeunes.
Il a souligné que la classe moyenne paysanne et les jeunes paysans pourront s'appuyer sur une nouvelle génération d'organisations agricoles innovantes, et aussi suivre le rythme de la réhabilitation des agriculteurs et développer leurs capacités à travers une nouvelle génération de mécanismes d'accompagnement, expliquant que la réalisation des objectifs de l'axe lié à l'appui à l'émergence d'une classe moyenne paysanne nécessite quatre piliers qui concernent l'amélioration des revenus de l'agriculteur et la généralisation de l'assurance agricole et le développement d'un cadre spécial pour l'agriculteur qui permet de bénéficier des services de protection sociale, ainsi que la réduction de la différence entre le salaire minimum dans le secteur agricole et les autres secteurs d'ici 2030.
Akhannouch a souligné que, conformément aux normes nationales et internationales de définition de la classe moyenne, la mise en œuvre de ces mesures permettra à 400 000 bonnes familles d'entrer dans la classe moyenne agricole et d'y installer 690 000 familles.
Afin de produire une nouvelle génération de jeunes entrepreneurs paysans, explique le ministre, quatre leviers ont été mis en place. Le premier consiste à proposer trois offres de valeur sur un million d'hectares de terres collectives. Il s'adresse d'abord aux jeunes et aux ayants droit , qui bénéficieront d'un système d'incitation et d'aides à la mise en place de projets couvrant un pourcentage des coûts d'investissement et garantissant l'accès à la sécurité sociale, et d'autre part aux investisseurs porteurs de projets à fort potentiel d'emploi, car ils bénéficieront d'un accès à l'immobilier des incitations liées au pool et à l'investissement, notant que cette dynamique sera accompagnée par des mesures horizontales liées au développement agricole et à la formation et la réhabilitation des agriculteurs, notant que ces trois offres contribueront à 200 mille bénéficiaires, dont 45 mille jeunes.
Le deuxième levier concerne un nouveau lancement des jeunes agriculteurs entrepreneurs, avec la mise en place d'incitations particulières qui permettent à environ 180 000 jeunes agriculteurs de lancer leurs activités, ajoutant que, compte tenu du fait que 360 000 exploitants agricoles ont plus de 65 ans, et pour assurer la succession de générations dans les deux secteurs, des mécanismes innovants seront mis en place pour assurer la pérennité des exploits.
Quant au troisième levier, précise le ministre, il concerne le soutien aux entreprises de services agricoles, tandis que le quatrième et dernier levier concerne une stratégie ambitieuse dans le domaine de la formation visant à former 150 000 diplômés d'ici 2030.
Akhannouch a indiqué que la formation professionnelle agricole sera présente dans 10 des 12 villes pour les métiers et compétences que Sa Majesté le Roi a lancé, ajoutant que les grues liées au soutien des activités agricoles dans le monde rural seront également incluses et activées dans le cadre de intégration avec le programme intégré d'accompagnement et de financement de l'entrepreneuriat lancé par le Roi.
Afin de créer une nouvelle génération d'organisations agricoles, le ministre a souligné que deux leviers étaient envisagés en promouvant de nouveaux modèles de coopératives agricoles en proposant des offres de valeur qui combinent les dimensions économiques et sociales et renforcent l'indépendance et le rôle des organisations interprofessionnelles dans la structuration des filières de production. dans le but de les autoriser à gérer 30% du budget.
Le dernier axe de la première partie comprend la mise en place d'une nouvelle génération de dispositifs d'accompagnement en intensifiant et vulgarisant la concertation agricole, en développant les services agricoles numériques en reliant au moins 2 millions d'agriculteurs aux plateformes de services électroniques, et en enrichissant le dispositif de soutien à l'agriculture solidaire, notamment en accompagnant les jeunes et les femmes pour assurer la pérennité de leurs projets.
Concernant le second volet de la nouvelle vision stratégique, qui concerne la poursuite du dynamisme du développement agricole, le ministre a expliqué, dans un premier axe lié à la nécessité d'œuvrer au renforcement des chaînes de production, que l'objectif est de doubler la matière première agricole atteindre 200 à 250 milliards de dirhams à l'horizon 2030, et doubler la valeur des exportations agricoles pour atteindre 50 à 60 milliards de dirhams, et dynamiser les investissements en valorisation et transfert pour couvrir 70 pour cent de la production, notant que le contrat-programme des industries agroalimentaires constitue, à cet égard, une première étape réussie et efficace qui est déterminée à être développée en consolidant ses acquis, ainsi qu'en mettant en place des incitations à l'émergence de nouvelles chaînes à haute qualification telles que les produits Membership.
Le deuxième axe concerne la restructuration et la modernisation des circuits de distribution en partenariat avec le Ministère de l'Intérieur et les collectivités territoriales à travers trois mesures liées à la modernisation de 12 marchés de gros, la modernisation des marchés traditionnels, et la structuration et diversification des circuits de distribution à travers circuits courts ainsi qu'en distribution directe.
Le troisième axe, lié à l'amélioration de la qualité et à l'encouragement de l'innovation, permettra au Maroc de mieux se conformer aux normes internationales, de répondre aux besoins des consommateurs, et de faire du produit (original) marocain (Origine Maroc) un gage de qualité. intensifier les processus de contrôle sanitaire pour protéger le consommateur et améliorer l'accès aux marchés internationaux.
Le quatrième et dernier axe vise à développer une agriculture durable à travers trois leviers, le premier concerne la mise en œuvre du volet relatif à l'eau d'irrigation au sein du programme national d'approvisionnement en eau potable et eau d'irrigation 2020-2027, dans lequel le Roi a donné ses hautes instructions, et la seconde s'accompagne de la transition des agriculteurs vers l'utilisation des énergies renouvelables, et la troisième et dernière, où l'agriculture sera réalisée durablement basée principalement sur des techniques améliorées de conservation des sols.
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